Scène d'intérieur
Chaleur d’un feu de bûches.
Au mur, Autoportrait aux cheveux défaits de Frida Kahlo,
Reflets de flammes dans les yeux.
Sur le pick-up, un vieux vinyle de Chet Baker.
Sur la table basse, un verre de Chimay. Vide.
Un roman de Baricco. Soie ? Non, Océan mer.
Dans l’air, un parfum de femme, léger comme un souvenir.
Dans le fauteuil, un chat en boule qui ronronne.
Tiens, non ! C’est un homme…
Un homme en boule qui ronronne
Et rêve en noir et blanc.
Gros plan, visage vagabond,
Les temps modernes, Paulette Goddard.
Dans son rêve, l’homme sourit.
Au mur, Autoportrait aux cheveux défaits de Frida Kahlo,
Reflets de flammes dans les yeux.
Sur le pick-up, un vieux vinyle de Chet Baker.
Sur la table basse, un verre de Chimay. Vide.
Un roman de Baricco. Soie ? Non, Océan mer.
Dans l’air, un parfum de femme, léger comme un souvenir.
Dans le fauteuil, un chat en boule qui ronronne.
Tiens, non ! C’est un homme…
Un homme en boule qui ronronne
Et rêve en noir et blanc.
Gros plan, visage vagabond,
Les temps modernes, Paulette Goddard.
Dans son rêve, l’homme sourit.
1 Comments:
Oh! Malo,
Heureusement qu'il reste les rêves où sourire, "Aux rêves tout est permis", ceci dit, je me demande si les chats, lovés dans la douce chaleur ont besoin des rêves? N'est-ce pas là propre à l'humain que de rêver sans fin à d'intouchables horizons? "Mes rêves ne sont ils pas tous promis aux cendres de l'oubli?" Le chat se contente de rêver souris, l'humain rêve l'impossible... je t'avais dit, fantôme des brûmes que je reviendrais souvent... Et souvent je viens te lire... Alors, à bientôt...
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